Le boycott fonctionne : 80% de non-participation
Jusqu’ici, moins de 500 000 motos se sont présentées au contrôle technique, sur un parc de 4,6 millions de deux roues motorisés assurés, dont la moitié aurait dû théoriquement passer sous les fourches caudines du contrôle en 2024. Un chiffre qui démontre la large opposition des motards à cette mesure. Ce refus est un message fort : le contrôle technique tel qu’il est conçu aujourd’hui ne répond pas aux attentes des usagers.
Un boycott pour affecter la rentabilité des centres de contrôle
Les centres de contrôle ont investi dans des équipements et des formations. Sans une participation suffisante, ces investissements deviennent difficiles à rentabiliser.
En continuant le boycott, nous forçons les centres à repenser leur position et à soutenir des mesures plus adaptées. Les nouvelles normes de 2025 imposeront des coûts supplémentaires aux centres de contrôle, les poussant à réévaluer leur modèle économique.
Le boycott continuera de mettre la pression pour obtenir des solutions plus raisonnables.
Pour répondre aux nombreuses questions des motards, la FFMC diffuse ici son guide du boycotteur : http://boycottct2rm.ffmc.fr
Ne passe pas le CT, passe le message !
(Signature de la campagne)